3 bières pour Noël !


DESPERADOS FLARE

En cette fin d’année 2016, Desperados crée l’évènement avec Desperados Flare : une édition ultra-limitée à la texture unique et encore jamais vue sur le marché de la bière. En agitant la bouteille, elle s’anime et dévoile une couleur intense, lumineuse et brillante. Effet inédit garanti !

À cette occasion, le Montana a développé 2 cocktails inédits, le Shiny Berry et le Shimmer Ginger. Des recettes imaginées pour sublimer l’incroyable effet visuel de Desperados Flare. À retrouver jusqu'au 31 décembre à la carte du Montana.

D’une contenance de 33cl, Desperados Flare est disponible en exclusivité chez Monoprix en bouteille à l’unité au prix marketing conseillé de 1,89€ et dans une sélection de bars à cocktail.








AFFLIGEM, CUVEE DE NOËL 2016


 
  A l’occasion des fêtes de Noël, la bière d’abbaye Affligem invite à redécouvrir sa cuvée de Noël millésimée.


Ce brassin 2016 disponible en durée limitée est fidèle aux caractéristiques qui ont fait sa renommée : emprunte de saveurs généreusement épicées, elle invite à la gourmandise et à la dégustation.


Entre intensité et générosité du goût, Affligem cuvée de Noël se distingue par une éclatante robe ambrée aux reflets cuivrés rehaussée d’une mousse riche et crémeuse.

Ses arômes de pain d’épices à l’orange, de fruits mûrs et de malt toasté lui confèrent un aspect gourmand en bouche.






MORT SUBITE WITTE ET KRIEK LAMBIC


D'origine bruxelloise cette bière de fermentation spontanée, cette star des comptoirs bruxellois est exclusivement produite dans le climat atypique de la vallée de la Senne (sud de Bruxelles) et du Pajottenland (ouest de Bruxelles). Un procédé de fabrication unique dans le monde de la bière, sans ajout de levure dans le moût et durant lequel la fermentation se produit directement au contact d’un air chargé en levures sauvages... En bref, de la spontanéité dans l’air et de la surprise dans votre verre de Witte Lambic ou de Kriek Lambic. Ces délicieux assemblages Mort Subite imaginés et mis en fût par le maître brasseur Bruno Reinders, amènent à la découverte gustative avec leurs goûts doux, finement sucrés et aux notes acidulées.  






RETOUR AUX SOURCES POUR LA PLUS ALSACIENNE DES BRASSERIES PARISIENNES... BOFINGER

Symbole de convivialité et de gourmandise, cette institution mythique n’hésite pourtant pas à se remettre en question. A toutes les époques depuis son inauguration en 1864, cette belle adresse aime surprendre sa clientèle. Sans une ride et sans jamais perdre son âme, cet endroit magique vient de s’offrir des travaux de ses cuisines et les aménagements nécessaires pour rendre accessible à tous son cadre prestigieux à l’atmosphère envoûtante. En cette fin d’année 2016, l’équipe de cet établissement a concocté de quoi séduire les habitués et les visiteurs du monde entier.


UN CHEF NOVATEUR QUI CONNAÎT SES CLASSIQUES
 Georges Belondrade, le chef de cuisine de la brasserie Bofinger, est habitué au lieu. Il y a ses marques car il a fait ses armes dans cette institution au début de sa carrière. Il lui a tout de même fait une infidélité pour rejoindre la brasserie La Coupole en 1992. Il revient en 2000 rue de la Bastille où il signe la carte depuis maintenant 16 ans. A 50 ans, Georges Belondrade possède l’expérience et l’audace qui permet aujourd’hui de proposer pour cette excellente table alsacienne un jeu original entre la tradition culinaire typique de la brasserie et innovation au service d’un renouveau gastronomique du genre.
Toute la réputation du lieu tient à la sélection des ingrédients et au savoir-faire ancestral qu’il a su revisiter. La célèbre choucroute, plat phare de la maison reste bien évidemment à la carte.
Suave, confite, avec peu d’acidité, voilà ce qu’il obtient en utilisant du chou venu d’Alsace, le saindoux, les oignons, les épices secrètes au savant mélange qu’il ne révèlera jamais et qui fait son succès, et surtout l’art du rinçage.
UNE NOUVELLE CARTE RÉINVENTÉE AU FIL DES SAISONS

La complicité du chef, Georges Belondrade, et du directeur, Frédéric Tabey, a permis de faire évoluer l’offre gourmande de la Brasserie Bofinger. La nouvelle carte Bofinger garde les fondamentaux pour proposer les incontournables et intégrer des suggestions de saison. L’équipe a travaillé sur les origines culinaires alsaciennes de l’enseigne, en adaptant le goût, les modes alimentaires et les envies de ses clients.



LE COME BACK DE HARRY


Le 13 octobre dernier, l’illustre maison Gallimard nous conviait à participer au lancement du 8ème tome de Harry Potter.



Pour l’occasion, l’esprit de Poudlard avait envahi les Bouffes du Nord. Le Professeur Trelawney, muni de sa boule de cristal, haranguait les invités dès la file d’attente, nous alertant d’une terrible menace… Vous-Savez-Qui serait-il de la partie ?

Un tampon en forme d’éclair en guise d’accueil et me voilà plongée dans un corridor sombre décoré de portraits, déambulant devant des portes menant au Bureau de Dumbledore, à la Chambre des Secrets et autres lieux iconiques de la saga.
In fine, c’est dans la Grande Salle de l’école de Magie que je pénètre. Les bougies flottantes du plafond magique s’éteignent soudain… Quelques notes de piano annoncent la présence de Détraqueurs, heureusement déboutés par un Patronus émerveillant les convives.

Place au buffet. Au milieu des coupes de champagne et des canapés, les bonbons de Bertie Crochue tiennent une place de choix. Les enfants s’en donnent à cœur joie. Une petite déception tout de même : aucune fumée ne sort de nos oreilles et personne ne se met à vomir des limaces gluantes… dommage J !
Vers 22h, le rideau se lève enfin sur une pile de livres. Harry Potter et l’enfant maudit est enfin entre mes mains ! Avec un rire sardonique, j’enfile ma cape et arrive tant bien que mal à me débarrasser de mes amis et de mon homme. Je n’ai plus qu’une seule idée en tête : dévorer le texte intégral de cette pièce de théâtre !

Que dire justement de ce 8ème opus ?
Mon cœur de fan s’emballe bien sûr. Tous les ingrédients sont là pour vous faire revivre l’épopée Harry Potter. Car cet ouvrage est avant tout un voyage à travers le temps et les différents épisodes de la série, vus au travers des yeux du deuxième fils de Harry et Ginie, Albus Severus Potter. Ce personnage déroutant, écrasé à la fois par la notoriété de son père et l’héritage de prénoms d’illustres sorciers (une combinaison difficile à supporter quand on est un ado mal dans sa peau en quête d’identité !) se retrouve au cœur d’aventures rocambolesques qui ne sont pas sans rappeler celles du plus célèbre trio de jeunes sorciers.
Les scènes puis les actes s’enchaînent rapidement. Trop peut-être. A l’inverse des romans qui vous plongent au cœur d’une atmosphère de plus en plus sombre au fil des tomes, vous laissent le temps de découvrir de nouveaux personnages et de nouvelles intrigues, ici, tout s’accélère… Le moment est déjà venu de refermer la couverture avec cette question lancinante : et si J. K. Rowling décidait finalement d’en écrire un 9ème ?


Harry Potter et l’enfant maudit, parties une et deux
De J. K. Rowling, Jack Thorne et John Tiffany
Edition Gallimard Jeunesse
352 pages – 21 €


Emilie